Unilive en backstage
Photo : ©Khyoria – Eutrop et Gence, DJ lors du Before Unilive du 19 avril
Rédigé par : Ylenia Dalla Palma
FESTIVAL • Le 27 avril se tenait sur le campus de l’Unil le fameux festival estudiantin Unilive. Sur les parkings de la Chamberonne et l’esplanade d’Internef, les étudiant·e·s se sont réuni·e·s dans une ambiance conviviale pour partager un moment musical en ce début de printemps. Zoom sur cette 10ème édition du festival.
Unilive, festival né en 2013, a fêté cette année sa dixième édition en grande pompe! Le jeudi 27 avril, ce sont environ 10’000 étudiant·e·s des campus Unil et EPFL qui se sont retrouvé·e·s afin de partager un moment festif, entre bières et musique entraînante. En collaboration avec la FAE, le festival Unilive a offert à son public une soirée tournée vers des valeurs égalitaires, écologiques et de partage. De nombreuses associations de l’Unil étaient présentes afin de promouvoir ces intérêts importants pour la communauté estudiantine.
Nous avons pu apercevoir notamment Fréquence Banane qui a fait se déhancher les festivalier·ère·s en début de soirée. Unilive a également invité des organisations lausannoises telles que Tataki qui a pu suivre l’événement. De quoi en ravir plus d’un·e en ce début de printemps.
Le comité en quelques mots
Mais si le festival peut se dérouler chaque année dans une agréable ambiance printanière, c’est sans aucun doute grâce à son comité. Composé de 27 membres, il est l’organe qui, séparé en plusieurs pôles, organise l’entier de la soirée. David Raccaud, président de l’association, confie en souriant : « Mes tâches consistent, globalement, à tenir la barque. Je dois assurer tout ce qui est administratif, notamment les suivis des séances de comité, le lien avec l’université, mais aussi avec les autorités locales ». Margaux Eisenhart, vice-présidente et responsable communication, confie quant à elle : « C’est une expérience incroyable, sur le plan personnel cela t’apprend à gérer beaucoup de choses ». Hugo Blaser, adjoint logistique présent au comité depuis six ans, explique : « C’est trop cool comme ambiance ! Il faut certes apprendre à gérer son temps, mais les semaines de montage sont toujours des moments très forts. Je me réjouis de cette dixième édition ».
Unilive et son équipe de staff au top
Le comité du festival est par ailleurs soutenu par toute une équipe de staff très motivée. Également répartie en plusieurs pôles, et elle permet, durant toute la soirée, d’avoir des bières fraîches et une sécurité garantie. Tanguy, l’un des membres de l’équipe, explique : « J’ai staffé au stand consignes à l’entrée, pour prendre les gourdes et autres objets interdits dans le festival. C’est une super expérience, j’ai pu rencontrer beaucoup de nouvelles personnes très sympathiques ! ». Staffer pour Unilive, c’est donc pouvoir être au cœur même de la vie estudiantine et, tout comme pour le comité, le lien aux autres reste primordial.
Un public en feu !
Mais au cœur de ce festival se retrouve surtout un public toujours aussi enthousiasmé d’une année à l’autre ! Certain·e·s des festivalier·ère·s sont arrivé·e·s dès le début de l’événement, à 16h30. Marine, une festivalière, confie au début de la soirée : « Il y a une très bonne ambiance qui s’installe petit à petit. Je pense qu’on est parti·e·s pour une soirée très sympa ». Au détour de la scène tech, Killian, un autre festivalier, ajoute : « Je suis arrivé à 16h45 avec mes amis et nous avons attendu le début du concert de Sandokaï avec une bière. Pour le moment, c’est le meilleur groupe que j’ai vu, c’était très sympa ! ».
Mais finalement, ce qui semble être à l’essence même du festival, c’est sa capacité à rassembler les étudiant·e·s et à créer du lien entre eux·elles. Noé confie entre deux concerts : « J’aime beaucoup pouvoir retrouver les autres étudiant·e·s dans la soirée, souvent tu croises toutes les personnes que tu connais. C’est une ambiance unique selon moi, où le lien se fait très facilement avec les autres festivalier·ère·s ». Une expérience, donc, qui a su gagner tous les cœurs avec son rythme effréné des nuits printanières.