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Rédigé par : Furaha Mujynya

EXAMENS • Entre les régulations qui changent d’une université, voire d’une faculté ou d’un cours à l’autre, les étudiant·e·s semblent peu au courant de leurs droits lors du déroulement d’examens écrits, ce qui engendre une source de stress supplémentaire lors d’une période déjà bien chargée.

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EXAMENS • Entre les régulations qui changent d’une université, voire d’une faculté ou d’un cours à l’autre, les étudiant·e·s semblent peu au courant de leurs droits lors du déroulement d’examens écrits, ce qui engendre une source de stress supplémentaire lors d’une période déjà bien chargée.

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EXAMENS • Entre les régulations qui changent d’une université, voire d’une faculté ou d’un cours à l’autre, les étudiant·e·s semblent peu au courant de leurs droits lors du déroulement d’examens écrits, ce qui engendre une source de stress supplémentaire lors d’une période déjà bien chargée.

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À la tête de la section

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EXAMENS • Entre les régulations qui changent d’une université, voire d’une faculté ou d’un cours à l’autre, les étudiant·e·s semblent peu au courant de leurs droits lors du déroulement d’examens écrits, ce qui engendre une source de stress supplémentaire lors d’une période déjà bien chargée.

Il existe de nombreux documents qui explicitent les conséquences en cas de tricherie ou encore les directives générales des examens dans les pages officielles des universités et hautes écoles suisses. Cependant, il semble y avoir un grand vide réglementaire et légal concernant les droits des étudiant·e·s lors du déroulement d’examens. S’il semble difficile de trouver des règles concernant les conditions d’examens de toute une université ou école, c’est d’abord parce que celles-ci peuvent varier énormément d’une faculté ou d’une section, à l’autre. À l’Unil, la durée d’examens écrits peut varier de 2 à 6 heures. Leur format change également ; questionnaire à choix multiples, dissertation ou encore exercices aux réponses développées. Il est donc logique que les réglementations qui en découlent ne soient pas uniformes. Néanmoins, il reste surprenant que de nombreuses règles soient différentes entre enseignements et même année. Il n’existe donc pas de protocole strict ou fixe pour chaque type d’examen entre les diverses institutions au sein d’un même canton ni même entre les différents organismes d’une même université.

Des inattendus surviennent de tous les côtés
Les étudiant·e·s interrogé·e·s sur le sujet confient qu’il·elle·s ont rarement eu accès aux informations relatives au déroulement de leurs examens suffisamment en avance pour se préparer mentalement et physiquement à leurs épreuves. Une étudiante en droit à l’Université de Zurich déplore le traitement déshumanisant des examens. Ils s’effectuent dans une salle de congrès inconnue des élèves, où seul un numéro qui leur a été attribué par l’école confirme leur bonne place dans la salle. Il·elle·s doivent également subir quinze minutes de discours sur les sanctions en cas de fraude. Nicola, étudiant de la Haute école de Commerce de Lausanne, se plaint également des places d’auditoire obtuses aux tables inclinées, qui rendent la pose à plat de stylos, gourde et autre équipement impossible. Même le droit d’aller aux toilettes subit des modifications entre examen et rattrapage : Lina, étudiante à l’Haute école de Santé La Source, n’a découvert qu’au moment de son rattrapage les nouvelles règles, énoncées par oral, sans message officiel. De plus, une différence dans la demande de recours à un examen a été découverte entre la HES et l’Unil.

Climat intimidant, la règle plutôt que l’exception

Si le corps estudiantin peut être gratuitement accompagné par un·e juriste dans sa démarche à l’Unil – qui est ensuite évaluée par une commission – comme explique Fanny en SSP, à la HES, la demande de recours se fait seul·e et se termine par un rendezvous avec le directeur, le jour même de la rentrée. Il y informe les étudiant·e·s de la réussite ou l’échec de leur démarche, précisent deux étudiantes. Il est possible, malgré le danger de tricherie, de rendre les sessions d’examen – des périodes à haute tension – plus agréables pour les étudiant·e·s, ne serait-ce que par une transmission anticipée des informations et une atmosphère plus légère. Il est donc fortement déplorable qu’un climat intimidant et un lieu d’examen étranger ou inconfortable soient souvent la règle plutôt que l’exception.

L’amélioration par l’uniformisation des conditions
Ce manque d’uniformisation ne crée pas uniquement de l’injustice entre les élèves – qui peuvent faire face à des conditions de traitement drastiquement différentes – mais elle leur rajoute à tou·te·s du stress supplémentaire. Tou·te·s les étudiant·e·s interrogé·e·s souhaiteraient avoir un meilleur accès aux informations relatives aux examens ainsi qu’aux droits qu’il·elle·s possèdent en cas d’échec, et ce regroupé à un même endroit ! Il·elle·s désirent également que les modalités d’examens soient uniformisées au sein d’une même faculté et coïncident avec celles de la faculté correspondante de toute université suisse.